Catégories : Hommes fessés
il y a 6 ans
- Ainsi donc, à 32 ans, vous voulez reprendre des études ?
Assis sur la chaise face à cette femme impressionnante derrière son bureau monumental, j’étais mal à l’aise dans cette situation inhabituelle. La directrice de la vénérable institution Sainte Marie me dévisageait, visiblement sceptique.
- Qu’est-ce qui peut bien amener un jeune homme de votre âge à vouloir passer son bac près de… elle consulta le dossier ouvert devant elle …de 15 ans après avoir cessé ses études, brusquement, sans raison apparente ?
Je repensais brièvement à ce jour où, sur un coup de tête, j’annonçais à mes parents que je ne passerai pas le bac, deux mois avant cette épreuve à laquelle, il est vrai, je ne me préparais pas vraiment comme il est habituellement d’usage dans l’année de terminale. Mes parents, plutôt laxistes depuis ma plus tendre enfance, avaient vainement tenté de me faire changer d’avis. Comme à leur habitude, ils n’avaient pas envisagé de faire jouer l’autorité qu’ils n’avaient de toute façon pas. Ma décision avait donc été sans appel.
- Jeune homme, je vous ai posé une question. J’attends une réponse !
La directrice, ou plus exactement la sœur directrice montrait son impatience. Sainte Marie était tenue par des religieuses qui, en ce début du XXIème siècle, portaient encore le costume traditionnel de leur ordre : une grande robe noire sur lequel tranchait un tablier blanc. Leur coiffe à cornette donnait à leur visage un air austère, sévère, ce qui était certainement l’effet recherché dans cette école qui revendiquait son attachement aux valeurs les plus conservatrices.
-
Oui, il se trouve que …
-
Oui … ma sœur !
Je restai perplexe suite à cette interruption effectuée sur un ton autoritaire.
-
Jeune homme, dans cette école, les élèves doivent parler aux professeurs avec le respect qui leur est dû. Cela commence par répondre « oui ma sœur » ou « non ma sœur ». Est-ce compris ?
-
Euh, … oui. Et après une seconde je rajoutais : ma sœur.
A mon omission, les yeux de la directrices se mirent à flamboyer. Puis, mon oubli rectifié, elle se cala dans son fauteuil.
- Faites attention, jeune homme, à ne pas pousser trop loin vos insolences. Vous pourriez faire connaissance, dès aujourd’hui, avec les méthodes en usage à Sainte Marie pour traiter ce genre de comportement. Répondez à ma question !
J’avais l’impression d’être traité comme un enfant. Je venais de me faire réprimander et menacer d’une sanction dont je ne connaissais pas la nature. Je renonçais à obtenir des explications.
-
J’ai besoin, ma sœur, d’obtenir un diplôme supérieur. Je suis en reconversion professionnelle et quand les employeurs examinent mon parcours, ils deviennent méfiants lorsqu’ils se rendent compte que je n’ai pas d’autre diplôme que le BEPC. A trois reprises, je n’ai pas obtenu un poste qui m’intéressait et qui était dans mes compétences pour cette unique raison. J’ai donc décidé d’obtenir les diplômes qui me manquent et donc de reprendre mes études.
-
Nous avons effectivement des classes de seniors. Elles sont prévues pour accueillir des adultes qui sont dans votre situation. Mais qui vous a envoyé à Sainte Marie ?
-
C’est ma tante, ma sœur, la sœur de ma mère. Elle a décidé de m’aider financièrement dans ma reconversion, à une condition : que je reprenne mes études là où je les avais interrompues et que cela se déroule à Sainte Marie. « je suis sûr que, dans cette école, tu vas travailler suffisamment pour réussir ton examen » m’a-t-elle dit.
-
Auriez-vous tendance à la paresse, jeune homme ?
-
Je ne sais pas, ma sœur, cela fait longtemps que je n’ai pas suivi de cours. Lorsque j’étais au lycée, je n’étais pas considéré comme très travailleur.
-
Je vois, répondit-elle, ici, vous allez travailler. Nous ne tolérons pas l’à peu près. C’est certainement pour cela que votre tante a choisi notre institution.
-
Oui, ma sœur, probablement mais je ne vois pas …
-
Ah ! Votre tante ne vous a pas expliqué comment nous nous y prenons pour que nos élèves soient assidus au travail ?
Ses yeux s’étaient réduits à une fente. Son ton laissait supposer que notre conversation arrivait à un point crucial.
-
Non, ma sœur.
-
Depuis que notre institution existe, cela va bientôt faire 250 ans, nous nous sommes fait une spécialité à remettre dans le droit chemin les enfants récalcitrants aux bonnes manières ou ceux qui préfèrent la paresse au travail. Quand des parents mettent leur enfant chez nous, ils sont sûrs du résultat. Nos méthodes ont fait leurs preuves depuis bien longtemps. Tout comportement inapproprié quelle qu’en soit sa nature : désobéissance, tenue incorrecte ou non conforme au règlement de l’école, bavardage, impolitesse, bref tout ce qui est jugé inadéquat par l’un des adultes de l’école est immédiatement sanctionné. Il en va de même lorsque le travail ou les résultats scolaires sont insuffisants. L’élève fautif reçoit alors une fessée, en général culotte baissée. Je peux vous assurer que cela remet très vite dans le droit chemin.
-
Mais, ma sœur …
-
Vous apprendrez, jeune homme, que, dans cette maison, couper la parole à un professeur, ou à n’importe quel adulte est considéré comme un comportement hautement impoli. Comme tel, cela est passible d’une sanction. Ici, les élèves ne répondent pas à un professeur, sauf quand ils sont questionnés. Considérons que pour cette première fois, un avertissement suffira. Je ne vous le redirai pas. Est-ce compris ?
-
Oui, ma sœur.
-
A la bonne heure. Continuons. Depuis une dizaine d’année, nous avons ouvert des classes de seniors dans lesquels se retrouvent les élèves majeurs. Quel que soit leur âge, ils sont soumis aux mêmes règles que les plus jeunes. Aucun professeur, et a fortiori aucun membre de la direction n’hésitera à vous déculotter puis à vous fesser s’il juge que vous l’avez mérité. Bien évidemment, les fessées sont administrées dès qu’elles sont décidées, ce qui suppose que le plus souvent cela se passe devant la classe toute entière. Vous serez donc …
-
Mais ma sœur, cela ne peut …
-
Il suffit ! je vous avais prévenu. C’est la deuxième fois que vous me coupez la parole. C’est une fois de trop. Nous allons régler cela dans quelques instants. Je ne vous conseille pas de recommencer.
Son ton ne laissait pas de place à la discussion. Je me sentais de plus en plus mal à l’aise. Ses menaces étaient explicites et apparemment, j’avais eu un des ces comportements inappropriés, mais les conséquences n’en étaient pas clairement énoncées. La sœur directrice laissa quelques secondes de blanc, montrant ainsi que c’était elle qui décidait de qui prenait la parole dans ce bureau.
- Bien, voila qui est mieux. Je vous disais donc qu’être élève dans cette école signifie recevoir la fessée aussi souvent que nécessaire, c’est-à-dire pour la grande majorité des élèves plusieurs fois dans l’année. En effet, nos standards de comportement sont des plus élevés et ne croyez pas que, comme aujourd’hui, vous serez avertis une première fois avant d’être puni.
Elle fit une nouvelle pause, laissant le silence s’installer suffisamment longtemps pour que mon malaise augmente. J’étais abasourdi par ce que je venais d’entendre. Les conséquences d’un comportement inadéquat étaient maintenant très claires. Je n’arrivais pas à me représenter subissant la fessée, qui plus est après avoir été déculotté.
Je n’avais jamais été soumis à une punition de ce genre, y compris lorsque j’étais petit. Mes parents étaient plutôt du genre laisser faire. Ils n’avaient jamais eu d’exigence à mon encontre. J’avais bénéficié d’un statut d’enfant roi auquel, afin de ne pas le traumatiser, on passait ses caprices. Toute demande de ma part devait être satisfaite au plus tôt. Mes colères me permettaient de faire céder quasi instantanément autant ma mère que mon père. Mes comportements, même les plus insolents, les faisaient rire et j’étais encouragé à continuer à faire preuve de cette « indépendance d’esprit ». M’administrer une fessée était donc tout à fait exclu.
Bien évidemment, mes années d’école avaient été difficiles … pour les enseignants qui s’échinaient à m’imposer un minimum de discipline. J’étais le trublion des classes que je fréquentais et mes parents se rangeaient toujours de mon côté lorsqu’ils étaient convoqués pour remédier à mon comportement qui fut considéré, dès le collège, comme asocial. Fort heureusement, j’avais une assez grande facilité à apprendre, ce qui me permit de suivre une scolarité normale, bien qu’elle fût marquée par de nombreux renvois.
Seule la sœur de ma mère trouvait à redire à cette situation. « Si tu étais mon garçon, … » La menace, n’avait jamais été plus précise. Son exécution hautement improbable d’autant plus qu’habitant assez loin de chez nous, je la voyais peu.
-
Si j’en crois la lettre de votre tante, elle survient à tous vos besoins jusqu’à ce que vous ayez obtenu un diplôme supérieur sauf si vous êtes renvoyé de Sainte Marie. Dans ce cas, elle vous coupe les vivres. Est-ce exact ?
-
Oui ma sœur.
-
Vous ne serez pas renvoyé de cet établissement pour avoir fait une bêtise ou vous être mal comporté. Un travail scolaire insuffisant ne sera pas, non plus, un motif de renvoi. Vous serez alors simplement, si j’ose dire, fessé plus souvent et plus vigoureusement. Refuser une punition ou résister lors de son application vous conduira dans mon bureau. Je saurai alors vous faire revenir à de meilleurs sentiments. Par contre, si vous persistez dans le refus vous serez immédiatement renvoyé. Est-ce assez clair ?
-
Oui, ma sœur.
Oui ma sœur, non ma sœur, on ne peut pas dire que je brillais par ma conversation. J’étais méfiant, restant sur la défensive. J’avais l’impression que la situation m’échappait. Je cherchais à comprendre où la sœur directrice voulait m’emmener, bien je commençasse, à ma plus grande confusion, à avoir une idée assez précise de là où nous allions.
-
Il me semble que votre tante ne vous laisse pas le choix, à moins que vous ne décidiez de laisser tomber dès maintenant ? Devons-nous continuer ? Dois-je considérer que vous faites désormais partie de l’effectif de cette école ?
-
Oui, ma sœur, je n’ai pas le choix.
-
Bon, désormais, vous vous soumettrez à toutes les punitions que les professeurs ce cette école jugeront bon de vous administrer. Est-ce entendu ?
-
Oui ma sœur, répondis-je en baissant les yeux.
Voila, c’était fait ! Je venais d’accepter la fessée et cette seule phrase représentait une humiliation bien plus grande que tout ce que j’avais pu souffrir jusqu’à maintenant. A 32 ans, la promesse d’une fessée déculottée planait au-dessus de ma tête et je ne doutais pas que la sœur directrice mette sa menace à exécution. Comment réagirai-je à ce moment là ?
- Bien, à ce propos il faut que nous revenions sur votre comportement tout à l’heure. Malgré un avertissement explicite, vous m’avez coupé la parole une deuxième fois. C’est exactement ce genre d’insolence qui se termine immanquablement par une punition.
Mon visage probablement déjà bien rouge dut tourner à l’écarlate. Je sentais la chaleur monter sur mes joues.
-
Mais, ma sœur …
-
Silence ! Dois-je vous rappeler qu’à Sainte Marie, les élèves ne parlent que lorsqu’ils sont interrogés ? Encore une fois et ce n’est pas une, mais deux fessées qui vous seront administrées.
Les intentions de la directrice étaient maintenant explicites. Bien que je m’en doutasse depuis quelques minutes, j’en avais la confirmation : c’était l’heure de ma première fessée à Sainte Marie.
Tout alla très vite à partir de ce moment. Donner une fessée à un élève, je m’en rendrais compte plus tard, était une mécanique bien huilée dans cette institution. Cette routine ne souffrait pas d’hésitation et je crois que pour une première fois, cela était préférable. Je n’eus pas le temps de réfléchir à ce qui m’arrivait.
- Levez-vous et venez ici !
La directrice me désignait le sol à la droite de son fauteuil. Ma légère hésitation suffit à la faire réagir.
- Dois-je venir vous chercher ?
Je sursautais, comme si cette dernière phrase m’avait réveillé. Je me levais et contournais le bureau et je m’approchais prudemment. La sœur considéra, sans doute que cette prudence n’était pas de mise. Elle se pencha et attrapant ma main elle m’attira à proximité de son fauteuil.
- A Sainte Marie, nous attendons un peu plus de célérité dans l’exécution des ordres qui vous seront donnés, spécialement quand une fessée est au programme. Est-ce entendu ?
Je dus m’y reprendre à deux reprises pour répondre tant ma bouche était sèche.
-
Oui, … oui, ma sœur.
-
Baissez votre pantalon !
Malgré la réprimande que je venais d’essuyer, je ne réagis pas à cette commande pourtant explicite. Dans un deuxième temps, par un effort de volonté, mes mains se portèrent sur la boucle de ma ceinture, mais retombèrent, comme si je n’avais plus la force de finir le geste esquissé.
- Dois-je considérer cela comme une désobéissance ou comme un refus de se soumettre à la punition ? Baissez-moi ce pantalon tout de suite ! Si je dois m’en charger, vous aurez à en subir les conséquences.
Je sentais un nœud dans mon estomac. Je ressentais un mélange d’humiliation et de peur des conséquences. Je tentais d’obéir, mais j’avais perdu toute force et je restais les bras ballants, passif comme paralysé, les yeux baissés.
La directrice me releva le menton.
- Regardez-moi quand je vous parle !
Je dus soutenir son regard dans lequel il n’y avait pas la moindre trace d’hésitation. Il était facile d’y lire l’issue de cette situation.
- Je vais considérer qu’il s’agit d’une désobéissance.
Elle déboucla ma ceinture, puis déboutonna mon pantalon. Elle s’attaquait à la fermeture éclair de ma braguette quand j’interposais mes mains.
- Les mains, sur la tête, vite.
Mon hésitation fut perceptible.
- Les mains sur la tête ou j’informe votre tante de votre renvoi !
Je ressentis comme un coup au cœur. Il me fallait décider : la fessée ou la possibilité de repartir dans la vie avec toutes les chances de mon côté.
Lentement, mes mains laissèrent la ceinture de mon pantalon et vinrent se placer sur le sommet de ma tête.
- Voila qui est mieux !
Joignant le geste à la parole, elle acheva de faire glisser la fermeture éclair et elle fit descendre le pantalon jusqu’en dessous de mes genoux.
Quand je sentis ses mains saisir l’élastique de ma culotte, je ne pus m’empêcher de baisser mes mains pour défendre ce qui me restait de dignité et de pudeur. Visiblement, elle s’attendait à une telle réaction. Vivement, de sa main droite, elle me tapa sur les doigts.
- Les mains gronda-t-elle !
Elle m’administra alors une formidable claque sur la cuisse gauche, celle qui était à sa portée. Comme, à son gout, mes mains ne regagnèrent pas suffisamment vite leur place, elle me fit pivoter légèrement et je reçus une deuxième claque sur la cuisse droite.
- Aie ! criais-je. Je n’avais pas pu retenir ce cri de surprise et de douleur mêlées.
Elle me tenait le bras gauche et la grêle de claque se poursuivit, ponctuée à chaque fois par un cri, extériorisant ainsi que la fessée produisait son effet. La directrice fit une pause.
- Les mains !
Bien que je susse ce que cela voulait dire, j’obéis, croisant mes doigts sur le sommet de son crâne. La directrice me fixait droit dans les yeux, je sentis ses mains se porter de nouveau sur l’élastique de ma culotte. Je n’eus que le temps de penser à l’empêcher d’aller plus loin. Le regard de la directrice se durcit comme si elle avait deviné mes intentions. Mes mains restèrent à leur place.
Alors, lentement je sentis les pouces de la sœur se glisser sous l’élastique de mon sous-vêtement. Puis, je le sentis glisser, dévoilant mes fesses. La honte de me montrer fesses nues me submergea et mes yeux se brouillèrent de larmes. Cependant, je laissais la directrice achever mon déculottage.
Je n’étais plus qu’un petit garçon, sur le point de prendre une fessée, attendant, culotte baissée, le bon vouloir de la personne chargée de le punir. Toute honte bue, je tenais mes fesses à la disposition de la directrice, sans protester, reconnaissant ainsi son droit à me fesser.
- Nous y voila, commenta-t-elle.
Je réalisais alors que, compte tenu de nos positions respectives, mon sexe se situait à hauteur de son visage, l’exhibant au regard de la sœur. Elle ne semblait pas y porter attention, totalement indifférente. De plus, je ne restais pas longtemps dans cette situation. Me prenant par l’avant bras, elle m’attira plus près d’elle jusqu’à toucher sa robe. Puis, elle posa sa main droite sur mon dos, m’invitant à me courber, et tout naturellement, je m’allongeais en travers de ses genoux. Mon torse reposait sur ses deux cuisses qu’elle avait largement écartées, mes fesses sur le bord de sa cuisse droite alors que mes pieds touchaient le sol. De l’autre côté, ma tête et mes bras pendaient dans le vide sans que j’en aie besoin pour me soutenir.
Je me sentais totalement vulnérable dans cette position qui laissait mes fesses à disposition de sa main. J’étais parfaitement installé pour subir mon châtiment.
- Mettons-nous d’accord, jeune homme, toute tentative pour se soustraire à la fessée que je vais vous administrer est vouée à l’échec. Vous subiriez alors, plus tard, une autre fessée qui se devrait d’être plus rigoureuse. Il vous est donc interdit de tenter de vous lever ou de protéger vos fesses avec votre main. Ce sera désormais la règle lorsque vous recevrez la fessée, quelle que soit la personne qui vous l’administrera. Par contre, il vous est loisir de gigoter sur les genoux, de crier, de supplier ou de pleurer.ne vous faites cependant pas d’illusion, ici, à Sainte Marie, cela n’atténuera en rien votre punition. Est-ce compris ?
Elle accompagna sa question d’une claque qui atterrit sur le sommet de mes fesses.
- Aie, criais-je !
Une deuxième claque suivit la première.
-
Je vous ai posé une question, jeune homme.
-
Oui, oui, j’ai compris !
La troisième claque ne tarda pas.
-
Oui qui ?
-
Oui, ma sœur, oui ma sœur !
-
Voila qui est mieux. Allons-y !
Je reçu une première claque et je n’eus pas le temps de m’en rendre compte que je recevais la suivante. Le cri que je poussais se confondit avec le bruit de la main de la sœur directrice lorsqu’elle entra en contact avec la peau de mes fesses.
Je me rendis alors compte du spectacle que je donnais. Mes cris ne faisaient que confirmer que je n’étais qu’un enfant, qui subissait l’autorité de sa correctrice. En fait, la fessée était supportable, j’avais été pris par surprise. Il fallait juste un peu de volonté pour la recevoir plus stoïquement. Je tendis ma volonté vers cet objectif et je réussis à étouffer mes cris. La sœur m’administra ainsi une vingtaine de claque sur les fesses, alternativement à droite, puis à gauche.
La sœur ne semblait pas se lasser. Ayant, sans doute, constaté que mes réactions étaient plus maîtrisées, elle frappa sur le haut de ma cuisse droite, juste à la jonction avec mon postérieur. La claque sur ce terrain encore vierge et administrée avec une force plus importante m’obligea à ruer. Je retombais sur les genoux de la sœur, restant dans la position corrective dans laquelle elle m’avait placé et dans laquelle elle me maintenait sans grosse difficulté.
Instinctivement, juste après une autre claque sur l’arrière de ma cuisse gauche, j’interposais ma main droite entre ma peau largement enflammée et la paume de la main qui poursuivait ma correction.
- Ça, dit-elle, c’est interdit. C’est une désobéissance de plus. Vous avez gagné une fessée supplémentaire.
Elle saisit mon poignet et fit remonter mon bras, le pliant derrière mon dos. La fessée reprit, explorant ce nouveau terrain encore vierge. Mon bras gauche chercha à se frayer un chemin pour protéger mon postérieur malgré l’interdiction de la directrice. Il fut bien vite arrêté par le flanc de ma correctrice. Posant alors ma main sur le sol, je cherchais alors à me relever, mais il suffit que mon bras replié dans mon dos soit remonté un peu plus haut pour m’obliger à rester en place.
La sœur directrice accéléra alors le rythme auquel les claques arrivaient sur mes cuisses. Je commençais alors remuer frénétiquement les jambes, seul partie de mon corps qui n’était pas immobilisée. Cette gesticulation n’empêchait en rien la directrice de poursuivre le châtiment qu’elle m’appliquait. Des grognements épisodiques sortaient de ma gorge. Ils devinrent de plus en plus réguliers, puis, la cuisson de mes cuisses augmentant, ils se transformèrent en cris. Mes résolutions tombèrent alors totalement et j’extériorisais ma douleur sans retenue, suppliant ma correctrice de cesser la punition. Le tableau que j’offrais à la sœur était éloquent : un petit garçon fermement maintenu en position disciplinaire criait sa douleur et suppliant qu’on l’épargne.
La fessée dura encore quelques secondes ? Plusieurs minutes ? Sur le moment et même a posteriori, je fus bien incapable d’en évaluer la durée. Pour moi, elle dura une éternité.
Enfin, elle cessa. La sœur relâcha sa prise et m’ordonna :
- Relevez-vous !
Je glissais et tombais à genoux à ses pieds. Mes deux mains se portèrent sur les fesses et je commençais à masser délicatement mes globes fessiers pour en atténuer la douleur.
La sœur me saisit les deux mains et les maintenant dans mon dos, elle m’administra 5 ou 6 claques très sèches sur les fesses.
- Après une fessée, les mains ne doivent pas servir à soulager la douleur. Il est alors normal d’avoir mal aux fesses. C’est l’effet recherché. Les mains se mettent sur la tête comme il convient à tous les punis.
Elle ponctuait chacune des syllabes qu’elle prononçait par une claque assénée sur mon derrière. Je ne tentais même pas de me libérer de sa prise qui était pourtant plus symbolique que destinée à maintenir de force mes fesses à portée de sa main. Je commençais à accepter l’inéluctabilité de la fessée lorsque la sœur directrice en avait décidé. J’avais déjà fait un progrès non négligeable sur le chemin de l’obéissance et de la soumission aux châtiments corporels.
Lorsqu’elle laissa mes poignets libres, le plus rapidement possible, je plaçais mes mains sur ma tête.
- Remettez-vous debout, jeune homme !
Je m’empressais d’obéir, bien qu’il soit assez difficile me remettre sur mes pieds sans l’aide de mes mains vissées sur le sommet de mon crâne. Je lus la satisfaction du devoir accompli dans ces yeux qui me regardait comme on regarde un condamné à qui sa juste peine venait d’être infligée. Son attitude me donnait l’impression qu’un acte de justice venait d’être accompli.
Elle me saisit alors par le lobe de l’oreille et à demi courbé, je la suivis vers le mur de son bureau, d’une démarche en crabe qui visait à ce que mon oreille suive au plus près la main de la directrice. Là, il y avait un espace libre entre deux tableaux.
- Le nez contre le mur !
Je m’y positionnais au plus vite.
- Vous restez là, les mains sur la tête, sans bouger jusqu’à ce que je vous y autorise. Est-ce clair ?
Elle confirma sa question par une claque sonore au centre de mes fesses.
- Aie, … oui ma sœur !
Le mur était blanc. Je ne m’en aperçu pas immédiatement, trop concentré sur la nécessité de me conformer aux consignes de la sœur directrice. Dans un premier temps, je ne me suis pas intéressé à rien d’autre. Mes fesses me lancèrent durant quelques minutes, brûlant par à coup, mais pas toujours au même endroit.
Puis, la cuisson à la surface de ma peau s’estompa. Elle était toujours présente, mais, peu à peu, elle devint plus lancinante et couvrant l’ensemble de la surface de mes fesses et du haut de mes cuisses, que brûlante et localisée là où la main de la directrice avait appliqué les dernières claques.
JLG
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